Un
salut cordial aux promeneurs de l'art, à ceux qui le goûtent,
choqués ou ravis - mais toujours étonnés - au détour
d'un chemin, et à ceux qui le créent sans en avoir l'air,
récupérant ici, bricolant là, faisant feu de tout bois
pour mettre à jour leur " grand uvre ".. Olivier Thiébault